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Je sais désormais que tu mobserves, que tu as toujours un il sur moi. Tes remarques, tes allusions ton trahi et mont mis en émois.
Je ne pensais pas te rencontrer, du moins je ne pensais pas que le destin mettrait sur ma route un homme comme toi. Moi qui me posais déjà tant de questions, qui doutais tellement de moi, de mes sentiments, de mes envies, des choix que je devais prendre et qui justement évitais de trop y penser. Te voilà comme une tornade qui pénètre dans ma petite vie, que je pensais désormais rangée, sans surprise, toute tracée et je me résignais déjà presque à laccepter ou la subir. Ton regard, ton sourire, tes mains, tes reins, tes rires, tes clins dil, tes soupirs, tout mobsède en toi, tout me perturbe, tu me fais bouillir de lintérieur.
Jimagine tes lèvres se reprochant des miennes, tes mains salissant mon visage fermement pour que même mes doutes et ma conscience ne puissent pas empêcher linévitable
Je rêve toutes les nuits de ton souffle dans le creux de mon cou, de sentir de tout ton poids sur moi, se poids, se corps à la fois étouffant, excitant, apaisant.
Je minvente des étreintes fiévreuses, douloureuse, enivrantes, douce, puissante. Toi me surprenant et mentraînant dans la forêt proche doù on cest rencontrer. Ta bouche sur la mienne en guise de doux baillons, appuyer contre lécorce rugueuse dun arbre qui me grifferait le dos, pendant que ta peau contre la mienne me caresserait langoureusement. Contraste douleur et douceur comme pour rappeler à ma raison que ce qui est parfois si bon est aussi dangereux et interdit.
Juste à lévocation de tes mains sur mes seins mes tétons se dressent et frémissent denvie
Tout mon corps se tend sous le désir, frissonne dimpatience, de frustration à force de fantasmer sur tes caresses que tu ne me prodigueras certainement jamais. Pourtant si tu savais comme mon désir est grand, ce nest pas mon corps brûlant qui te réclame, cest mon âme entière qui sembrase quand je pense à toi, ou quand tu es près de moi sans que lon puisse se toucher, tout juste seffleurer maladroitement.
Je te veux, ce nest pas quun caprice, cest bien plus que sa, comme un cri, une morsure, ancrée au fond de moi. Il ny pas que mes reins qui te réclament encore et encore, cest chaque centimètre carré de ma peau qui brûle de désirs à ton égard. Cest ma langue qui aimerait rencontrer la tienne, te goûter, te dévorer, te lécher, mes lèvres qui raffoleraient de pouvoir tembrasser dans le creux de ton cou, parcourir ton torse, le pli de ton aine, sentir sous leurs pression ton désir gonfler et se gorger de sang et de sève. Se sont mes mains qui sonderaient avec délices et douceur, la rondeur de tes fesses, qui grifferait avec ravissement ton dos sous le plaisir enfin éprouvé à découvrir ton corps minutieusement.
Je le sais bien, tu mobserves, que tu as toujours un il sur moi. Tes remarques, tes allusions ton trahi et mont mis en émois. Pourtant malgré tout je navigue dans le noir, je ne sais si ce nest que de lintérêt amical, ou si comme moi tu brûle de lintérieur sans oser balancer ta conscience et risquer le tout pour le tout sans penser aux conséquences
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Ce week-end, jétais loin de toi
Mais je savais ce que tu faisais Samedi soir
Plus ou moins comme moi. Dans un endroit un peu reculé, au tour dun grand feu avec de la musique et des amis, tu passais le temps, sous le firmament où se déchirait ici et là quelques relief de nuage datant de la tempête de la veille
Bien que cela fusse amusant et défoulant, et que javais grand besoin de me déconnecté un peu de la réalité, mes pensées sobstinaient à se tourner vers toi Etait-ce le cas aussi pour toi ? Et voici ce que j'imaginais ce que pourrait être notre rencontre...
Je timaginais dans une paisible clairière, assis en tailleur, seul à contempler un grand feu
Et là je mavançais vers toi doucement. Le flammes sélançais vers le ciel faisait que lon ne distinguait quune vague ombre mais parfois un bout de ton visage
Jétais de plus en plus proche mais tu restais immobile
quattendais tu pour me faire un signe, pour faire un pas vers moi ?
Arrivé face à toi, le brasier faisait briller tes yeux presque dun éclat sauvage
Je tremblais un peu, jhésitais
Devais-je me laisser tenter par ce diable avec pour seul témoin ma conscience et les étoiles ?
Je conturnais le feu, mon cur, se mit à battre plus fort dans ma poitrine, où etais-ce le tien que je percevais déjà ? Tu bougea enfin et te tournas vers moi, mais toujours assis dans lherbe fraîche
je mapprochais encore plus de toi, et lenvie me faisant perdre toute raison, je massis sur toi en te chevauchant et plantais mon regards brûlant de désirs dans le tiens
Soudainement tu me tiras violement à toi, tu me mordis la lèvres, membrassas, je te goûtais enfin
Tes mains se frayait un passage sous mes vetements, je sentais courir tes doits le long de mon dos, descendre jusquà mes hanches, mes fesses
. Je sentais la chaleur menvahir
Celle du feu, celle de ton corps, celle de mon désirs
Je sentais comme des flammes à lintérieur, comme des milliers de petits papillons dans mon ventre
Je te voulais plus que jamais
Je commençais à te déshabillé tant bien que mal, pris dune fureur et dune impatience sans nom. Toi aussi tu déchiras presque ma blouse, et arracha une ou deux boutons de mon pantalons. Nue à la lumière du feu tu me jetta parterre, et te coucha de tout ton long sur moi
Les flammes éclairait par acoup nos deux corps entre les herbes folles, qui roulait lun sur lautre, se griffant, se mordant, se léchant, se découvrant enfin
Tu me saisi les poignet pour mimmobiliser, tu me fixa dans les yeux pendant que lentement tu tenfonçais en moi
Je rêve et ne cesse de timmaginer mon doux amant virtuel
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Depuis que nos conversation on commencer cher amant virtuel, j'en rêve chaque nuit, et même la journée je m'y prend à y penser...
Je rêve d'une grande piscine en pleine nuit, éclairer juste par les étoiles, la lune et les lumières des routes au loin...
Nue je ferais quelques longueur, l'eau froide me ferrait frissoner, et durcir mes tétons, puis je me laisserais flotter sur le dos, le vent chaud effleurant les quelques centimètres de ma peau non imergée...
Je pourrais contempler les étoiles ainsi, et protéger par l'eau je n'entendrais plus aucun bruit... C'est là que tu me surprendrais...
Doucement tu te glisserais dans l'eau sombre, et tu m'attraperais par derrière pour me tirer jusqu'a toi... Surprise mon corps serait tout tendu, puis te reconnaissant, je me retournerais et me blottirais contre toi... Me laissant aller à l'extase d'être enfin dans tes bras, complétement nue et à ta mercie... Nos lèvres humide d'eau et d'envie pourrait enfin se rencontrer... mes mains parcourait ton corps de ta nuque à tes fesses découvrant un corps si plein de promesses... j'arrive presque à ressentir la force de tes baisers, tes lèvres dans mon cou, tes morsures sur mes seins, tes jambes m'enlacer... Je sentirais également bien vite poindre ta terrible envie contre moi malgré l'eau fraîche... La tu me plaquerais dans un coin de cette piscine déserte pour assouvir enfin ton plaisir et le mien...
J'en rêve... oui je rêve trop parfois...
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