La nuit dernière, un homme est encore entré dans ma chambre pour forniquer avec mes vêtements. Presque silencieux, réprimant ses gémissements, ses halètements et ses grognements, il se frottait contre mes jupes et mes pantalons en enfilant sa queue rougeaude dans mes mules en éponge et mes soustifs à balconnets.
Ouvrant lil, je le vis nu dans la pénombre argentée, la tête renversée par lextase, un foulard de laine bleu outremer enroulé autour de ses hanches, engrossant à tout va un de mes gants de soie.
« Jespère que celui-ci ne manquera pas le cycle de rinçage » me dis-je en me rendormant.