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Samedi 22 janvier 6 22 /01 /Jan 00:00

Je sais désormais que tu m’observes, que tu as toujours un œil sur moi. Tes remarques, tes allusions ton trahi et m’ont mis en émois.
Je ne pensais pas te rencontrer, du moins je ne pensais pas que le destin mettrait sur ma route un homme comme toi. Moi qui me posais déjà tant de questions, qui doutais tellement de moi, de mes sentiments, de mes envies, des choix que je devais prendre et qui justement évitais de trop y penser. Te voilà comme une tornade qui pénètre dans ma petite vie, que je pensais désormais rangée, sans surprise, toute tracée et je me résignais déjà presque à l’accepter ou la subir. Ton regard, ton sourire, tes mains, tes reins, tes rires, tes clins d’œil, tes soupirs, tout m’obsède en toi, tout me perturbe, tu me fais bouillir de l’intérieur. 
J’imagine tes lèvres se reprochant des miennes, tes mains salissant mon visage fermement pour que même mes doutes et ma conscience ne puissent pas empêcher l’inévitable… Je rêve toutes les nuits de ton souffle dans le creux de mon cou, de sentir de tout ton poids sur moi, se poids, se corps à la fois étouffant, excitant, apaisant. 

Je m’invente des étreintes fiévreuses, douloureuse, enivrantes, douce, puissante. Toi me surprenant et m’entraînant dans la forêt proche d’où on c’est rencontrer. Ta bouche sur la mienne en guise de doux baillons, appuyer contre l’écorce rugueuse d’un arbre qui me grifferait le dos, pendant que ta peau contre la mienne me caresserait langoureusement. Contraste douleur et douceur comme pour rappeler à ma raison que ce qui est parfois si bon est aussi dangereux et interdit. 

Juste à l’évocation de tes mains sur mes seins mes tétons se dressent et frémissent d’envie… Tout mon corps se tend sous le désir, frissonne d’impatience, de frustration à force de fantasmer sur tes caresses que tu ne me prodigueras certainement jamais. Pourtant si tu savais comme mon désir est grand, ce n’est pas mon corps brûlant qui te réclame, c’est mon âme entière qui s’embrase quand je pense à toi, ou quand tu es près de moi sans que l’on puisse se toucher, tout juste s’effleurer maladroitement. 

Je te veux, ce n’est pas qu’un caprice, c’est bien plus que sa, comme un cri, une morsure, ancrée au fond de moi. Il n’y pas que mes reins qui te réclament encore et encore, c’est chaque centimètre carré de ma peau qui brûle de désirs à ton égard. C’est ma langue qui aimerait rencontrer la tienne, te goûter, te dévorer, te lécher, mes lèvres qui raffoleraient de pouvoir t’embrasser dans le creux de ton cou, parcourir ton torse, le pli de ton aine, sentir sous leurs pression ton désir gonfler et se gorger de sang et de sève. Se sont mes mains qui sonderaient avec délices et douceur, la rondeur de tes fesses, qui grifferait avec ravissement ton dos sous le plaisir enfin éprouvé à découvrir ton corps minutieusement. 

Je le sais bien, tu m’observes, que tu as toujours un œil sur moi. Tes remarques, tes allusions ton trahi et m’ont mis en émois. Pourtant malgré tout je navigue dans le noir, je ne sais si ce n’est que de l’intérêt amical, ou si comme moi tu brûle de l’intérieur sans oser balancer ta conscience et risquer le tout pour le tout sans penser aux conséquences…

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***Je te désir...***


Ce week-end, j’étais loin de toi… Mais je savais ce que tu faisais Samedi soir… Plus ou moins comme moi. Dans un endroit un peu reculé, au tour d’un grand feu avec de la  musique et des amis, tu passais le temps, sous le firmament où se déchirait ici et là quelques relief de nuage datant de la tempête de la veille… 
 

Bien que cela fusse amusant et défoulant, et que j’avais grand besoin de me déconnecté un peu de la réalité, mes pensées s’obstinaient à se tourner vers toi… Etait-ce le cas aussi pour toi ? Et voici ce que j'imaginais ce que pourrait être notre rencontre...

Je t’imaginais dans une paisible clairière, assis en tailleur, seul à contempler un grand feu… Et là je m’avançais vers toi doucement. Le flammes s’élançais vers le ciel faisait que l’on ne distinguait qu’une vague ombre mais parfois un bout de ton visage… J’étais de plus en plus proche mais tu restais immobile… qu’attendais tu pour me faire un signe, pour faire un pas vers moi ? 

Arrivé face à toi, le brasier faisait briller tes yeux presque d’un éclat sauvage… Je tremblais un peu, j’hésitais… Devais-je me laisser tenter par  ce diable avec pour seul témoin ma conscience et les étoiles ?

Je conturnais le feu, mon cœur, se mit à battre plus fort dans ma poitrine, où etais-ce le tien que je percevais déjà ? Tu bougea enfin et te tournas vers moi, mais toujours assis dans l’herbe fraîche…je m’approchais encore plus de toi, et l’envie me faisant perdre toute raison, je m’assis sur toi en te chevauchant et plantais mon regards brûlant de désirs dans le tiens…

Soudainement tu me tiras violement à toi, tu me mordis la lèvres, m’embrassas, je te goûtais enfin…  Tes mains se frayait un passage sous mes vetements, je sentais courir tes doits le long de mon dos, descendre jusqu’à mes hanches, mes fesses…. Je sentais la chaleur m’envahir… Celle du feu, celle de ton corps, celle de mon désirs… Je sentais comme des flammes à l’intérieur, comme des milliers de petits papillons dans mon ventre… Je te voulais plus que jamais…

Je commençais à te déshabillé tant bien que mal, pris d’une fureur et d’une impatience sans nom. Toi aussi tu déchiras presque ma blouse, et arracha une ou deux boutons de mon pantalons. Nue à la lumière du feu tu me jetta parterre, et te coucha de tout ton long sur moi… Les flammes éclairait par acoup nos deux corps entre les herbes folles, qui roulait l’un sur l’autre, se griffant, se mordant, se léchant, se découvrant enfin…

Tu me saisi les poignet pour m’immobiliser, tu me fixa dans les yeux pendant que lentement tu t’enfonçais en moi…

 

Je rêve et ne cesse de t’immaginer mon doux amant virtuel…

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***Nue dans l'eau je t'attends***

Depuis que nos conversation on commencer cher amant virtuel, j'en rêve chaque nuit, et même la journée je m'y prend à y penser...

Je rêve d'une grande piscine en pleine nuit, éclairer juste par les étoiles, la lune et les lumières des routes au loin...

Nue je ferais quelques longueur, l'eau froide me ferrait frissoner, et durcir mes tétons, puis je me laisserais flotter sur le dos, le vent chaud effleurant les quelques centimètres de ma peau non imergée...

Je pourrais contempler les étoiles ainsi, et protéger par l'eau je n'entendrais plus aucun bruit... C'est là que tu me surprendrais...

Doucement tu te glisserais dans l'eau sombre, et tu m'attraperais par derrière pour me tirer jusqu'a toi... Surprise mon corps serait tout tendu, puis te reconnaissant, je me retournerais et me blottirais contre toi... Me laissant aller à l'extase d'être enfin dans tes bras, complétement nue et à ta mercie...  Nos lèvres humide d'eau et d'envie pourrait enfin se rencontrer... mes mains parcourait ton corps de ta nuque à tes fesses découvrant un corps si plein de promesses... j'arrive presque à ressentir la force de tes baisers, tes lèvres dans mon cou, tes morsures sur mes seins, tes jambes m'enlacer... Je sentirais également bien vite poindre ta terrible envie contre moi malgré l'eau fraîche... La tu me plaquerais dans un coin de cette piscine déserte pour assouvir enfin ton plaisir et le mien...

J'en rêve... oui je rêve trop parfois...

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Par glace glace007 - Publié dans : freesexe
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