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Samedi 22 janvier 6 22 /01 /Jan 00:00

Je sais désormais que tu m’observes, que tu as toujours un œil sur moi. Tes remarques, tes allusions ton trahi et m’ont mis en émois.
Je ne pensais pas te rencontrer, du moins je ne pensais pas que le destin mettrait sur ma route un homme comme toi. Moi qui me posais déjà tant de questions, qui doutais tellement de moi, de mes sentiments, de mes envies, des choix que je devais prendre et qui justement évitais de trop y penser. Te voilà comme une tornade qui pénètre dans ma petite vie, que je pensais désormais rangée, sans surprise, toute tracée et je me résignais déjà presque à l’accepter ou la subir. Ton regard, ton sourire, tes mains, tes reins, tes rires, tes clins d’œil, tes soupirs, tout m’obsède en toi, tout me perturbe, tu me fais bouillir de l’intérieur. 
J’imagine tes lèvres se reprochant des miennes, tes mains salissant mon visage fermement pour que même mes doutes et ma conscience ne puissent pas empêcher l’inévitable… Je rêve toutes les nuits de ton souffle dans le creux de mon cou, de sentir de tout ton poids sur moi, se poids, se corps à la fois étouffant, excitant, apaisant. 

Je m’invente des étreintes fiévreuses, douloureuse, enivrantes, douce, puissante. Toi me surprenant et m’entraînant dans la forêt proche d’où on c’est rencontrer. Ta bouche sur la mienne en guise de doux baillons, appuyer contre l’écorce rugueuse d’un arbre qui me grifferait le dos, pendant que ta peau contre la mienne me caresserait langoureusement. Contraste douleur et douceur comme pour rappeler à ma raison que ce qui est parfois si bon est aussi dangereux et interdit. 

Juste à l’évocation de tes mains sur mes seins mes tétons se dressent et frémissent d’envie… Tout mon corps se tend sous le désir, frissonne d’impatience, de frustration à force de fantasmer sur tes caresses que tu ne me prodigueras certainement jamais. Pourtant si tu savais comme mon désir est grand, ce n’est pas mon corps brûlant qui te réclame, c’est mon âme entière qui s’embrase quand je pense à toi, ou quand tu es près de moi sans que l’on puisse se toucher, tout juste s’effleurer maladroitement. 

Je te veux, ce n’est pas qu’un caprice, c’est bien plus que sa, comme un cri, une morsure, ancrée au fond de moi. Il n’y pas que mes reins qui te réclament encore et encore, c’est chaque centimètre carré de ma peau qui brûle de désirs à ton égard. C’est ma langue qui aimerait rencontrer la tienne, te goûter, te dévorer, te lécher, mes lèvres qui raffoleraient de pouvoir t’embrasser dans le creux de ton cou, parcourir ton torse, le pli de ton aine, sentir sous leurs pression ton désir gonfler et se gorger de sang et de sève. Se sont mes mains qui sonderaient avec délices et douceur, la rondeur de tes fesses, qui grifferait avec ravissement ton dos sous le plaisir enfin éprouvé à découvrir ton corps minutieusement. 

Je le sais bien, tu m’observes, que tu as toujours un œil sur moi. Tes remarques, tes allusions ton trahi et m’ont mis en émois. Pourtant malgré tout je navigue dans le noir, je ne sais si ce n’est que de l’intérêt amical, ou si comme moi tu brûle de l’intérieur sans oser balancer ta conscience et risquer le tout pour le tout sans penser aux conséquences…

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***Je te désir...***


Ce week-end, j’étais loin de toi… Mais je savais ce que tu faisais Samedi soir… Plus ou moins comme moi. Dans un endroit un peu reculé, au tour d’un grand feu avec de la  musique et des amis, tu passais le temps, sous le firmament où se déchirait ici et là quelques relief de nuage datant de la tempête de la veille… 
 

Bien que cela fusse amusant et défoulant, et que j’avais grand besoin de me déconnecté un peu de la réalité, mes pensées s’obstinaient à se tourner vers toi… Etait-ce le cas aussi pour toi ? Et voici ce que j'imaginais ce que pourrait être notre rencontre...

Je t’imaginais dans une paisible clairière, assis en tailleur, seul à contempler un grand feu… Et là je m’avançais vers toi doucement. Le flammes s’élançais vers le ciel faisait que l’on ne distinguait qu’une vague ombre mais parfois un bout de ton visage… J’étais de plus en plus proche mais tu restais immobile… qu’attendais tu pour me faire un signe, pour faire un pas vers moi ? 

Arrivé face à toi, le brasier faisait briller tes yeux presque d’un éclat sauvage… Je tremblais un peu, j’hésitais… Devais-je me laisser tenter par  ce diable avec pour seul témoin ma conscience et les étoiles ?

Je conturnais le feu, mon cœur, se mit à battre plus fort dans ma poitrine, où etais-ce le tien que je percevais déjà ? Tu bougea enfin et te tournas vers moi, mais toujours assis dans l’herbe fraîche…je m’approchais encore plus de toi, et l’envie me faisant perdre toute raison, je m’assis sur toi en te chevauchant et plantais mon regards brûlant de désirs dans le tiens…

Soudainement tu me tiras violement à toi, tu me mordis la lèvres, m’embrassas, je te goûtais enfin…  Tes mains se frayait un passage sous mes vetements, je sentais courir tes doits le long de mon dos, descendre jusqu’à mes hanches, mes fesses…. Je sentais la chaleur m’envahir… Celle du feu, celle de ton corps, celle de mon désirs… Je sentais comme des flammes à l’intérieur, comme des milliers de petits papillons dans mon ventre… Je te voulais plus que jamais…

Je commençais à te déshabillé tant bien que mal, pris d’une fureur et d’une impatience sans nom. Toi aussi tu déchiras presque ma blouse, et arracha une ou deux boutons de mon pantalons. Nue à la lumière du feu tu me jetta parterre, et te coucha de tout ton long sur moi… Les flammes éclairait par acoup nos deux corps entre les herbes folles, qui roulait l’un sur l’autre, se griffant, se mordant, se léchant, se découvrant enfin…

Tu me saisi les poignet pour m’immobiliser, tu me fixa dans les yeux pendant que lentement tu t’enfonçais en moi…

 

Je rêve et ne cesse de t’immaginer mon doux amant virtuel…

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***Nue dans l'eau je t'attends***

Depuis que nos conversation on commencer cher amant virtuel, j'en rêve chaque nuit, et même la journée je m'y prend à y penser...

Je rêve d'une grande piscine en pleine nuit, éclairer juste par les étoiles, la lune et les lumières des routes au loin...

Nue je ferais quelques longueur, l'eau froide me ferrait frissoner, et durcir mes tétons, puis je me laisserais flotter sur le dos, le vent chaud effleurant les quelques centimètres de ma peau non imergée...

Je pourrais contempler les étoiles ainsi, et protéger par l'eau je n'entendrais plus aucun bruit... C'est là que tu me surprendrais...

Doucement tu te glisserais dans l'eau sombre, et tu m'attraperais par derrière pour me tirer jusqu'a toi... Surprise mon corps serait tout tendu, puis te reconnaissant, je me retournerais et me blottirais contre toi... Me laissant aller à l'extase d'être enfin dans tes bras, complétement nue et à ta mercie...  Nos lèvres humide d'eau et d'envie pourrait enfin se rencontrer... mes mains parcourait ton corps de ta nuque à tes fesses découvrant un corps si plein de promesses... j'arrive presque à ressentir la force de tes baisers, tes lèvres dans mon cou, tes morsures sur mes seins, tes jambes m'enlacer... Je sentirais également bien vite poindre ta terrible envie contre moi malgré l'eau fraîche... La tu me plaquerais dans un coin de cette piscine déserte pour assouvir enfin ton plaisir et le mien...

J'en rêve... oui je rêve trop parfois...

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Par glace glace007 - Publié dans : freesexe
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Samedi 22 janvier 6 22 /01 /Jan 00:00

Actuellement ci-dessous : 5 sur 17  (maintenant que je suis celibataire je peux faire un compte et le mettre a jour hi hi hi)

J'avais d'abord envie d'éditer une note sur la liste de mes amants mais il serait peut-être plus judicieux  de dire que celà serait  une liste d'événements incluant un nombre certains d'hommes qui ont fait un bout de chemin (parfois très court...) avec moi...

Certains m'on brisé, d'autres grandi, ou encore aimer, exploiter,  endurcie, rendue fragile, appris à être femme, amie, amante, mère à la fois (enfin d'une certaine façon) etc... Enfaîte ils ont fais de moi ce que je suis aujourd'hui... ou du moins une bonne partie...

Mais en réfléchissant bien je ne peux pas cumuler tous ca sur une seule note donc note par note je vais conter avec force et détails (parfois beaucoup et d'autres moins) mes ébats, mes déceptions, toutes ces rencontres... donc ...

 

LE TOUT PREMIER :

Cédric...

Je ne vais pas expliquer l'histoire de notre rencontre, qui n'a rien d'exceptionnelle et qui n'est foncièrement pas vraiment romantique...

Bref, parfois il nous arrive d'avoir certaines convictions... (Certains peux-être me diront que c'est soit de l'intuition féminine ou alors qu'on s'imagine trop de choses pourtant il n'en n'est rien, je vous l'assure) Re-bref, quand je l'ai vu, je savais que je devais être patiente car je serais bientôt celle qu'il tiendrait par la main... Et la première fois que l'on s'est embrassé, j'ai su que ce serait lui le premier... Ce qui arriva deux semaines après que nous soyons sortis ensemble…

Certains j'en suis sur trouveront cela trop rapide, pas réfléchis, ou se diront que peux-être il m'a forcé… Mais non, c'est moi qu'il l'ai forcé… Et oui sa arrive aussi… Même si pour lui ce n'étais pas sa première fois (enfaite j'étais la deuxième). Je savais que je l'aimerais et que cela serait réciproque et que ça durerait entre nous, qu'il me respecterait… Effectivement j'ai eu de la chance, non seulement il fut doux, tendre et attentif mais il fut un petit ami exemplaire… Drôle, sensible, prévenant, gâlant… (ruinant sa tirelire d'étudiant pour m'offrir des roses pour mon anniversaire) et m'écrivant de tendre lettre d'amour… Pourtant tout à une fin car à 16 ans, 6 mois c'est long, et on a parfois envie de voir autre chose ou on est influencé trop facilement par d'autres… Donc pour une des rares fois dans ma vie c'est moi qui ai fais souffrir… Je l'ai quitté… (l'épisode ne s'arrête pas là tout simplement c'est bien plus compliqué que sa… mais les détails je préfère les garder pour moi, pour lui… ainsi que les détails sur notre vie sentimentale et sexuelle… (Bien que en général chez des ados de 16-18 ans cela n'a vraiment rien de forcément très pimentés et délurés, je préfère rester prude sur ces événements ou simplement pour garder un souvenir un peu vaporeux et heureux…)

Cédric est un homme qui réconcilierait toutes les femmes avec la gente masculine... Pourquoi l'ai-je quitté me direz-vous ?

Simplement parce qu'à 16 ans on est bête parfois, et qu'on a envie d'aventure... Je n'avoue pas là non plus que je regrette de l'avoir quitté, mais simplement que l'on ne soit pas rester ami... (bien que je tienne à souligner qu'il n'y ai aucune animosité entre nous) C'est désormais juste un simple bonjour et un sourire quand on se croise...

Enfaite je crois que même si Cédric fut le premier, après réflexion, je ne peux pas vraiment le qualifier d'amant... C'étais mon amoureux, et nos parties de jambes en l'air franchement je m'en souviens pas vraiment, je me souviens plutôt de nos langoureux baisers et des caresses échangées dans les coins sombres...

Cédric est un bon et beaux souvenirs simplement...

 

***Listing d'amants: N°2 désastreux***

Donc comme promis dans une note précédente, je vais continuer ce listing "d'amants" (amoureux, coup d'un soir ou de quelques fois, folie passagère, erreur, etc…) (mais avant de passer aux choses directement "croustillantes" je vais placer un peu l'histoire dans le contexte) 

Donc cette note si est dédiée à José  (c'est pas forcément un compliment vu ce qui va suivre)

Après avoir quitter Cédric (mon premier amoureux et amant pour ceux qu'on pas suivi les notes précédentes), j'ai eu quelques petits copains n'allant pas plus loin que les petits bisous langoureux et autres attouchements relativement soft. 

Donc je fréquentais à l'époque le bar d'un restaurant parce qu'un de mes ami y travaillait comme apprenti (pour info il s'appelle Grég et à l'époque j'en étais un peu amoureuse)… Bref, dans ce restaurant y'avait un serveur qui avait 27 ans à l'époque (alors que moi j'avais pas encore 17 ans). Disons que c'est peut-être plus son âge et sa façon d'être si sur de lui qui mon plus ou moins séduite… Toujours est-il qu'un soir il m'a coincé dans un coin du bar et je n'ai rien trouvé mieux que de me laissé faire… (Enfaîte à ce moment là je pensais surtout au copine de l'école que je pourrais épater en disant que je sortais avec un mec de dix ans mon aîné et avec une grosse voiture… c'est fous ce qu'on peut être puéril et matérialiste à cet âge…)

Enfin quelques soirs plus tard il m'a invité chez lui et il réussit à me mettre dans son lit. De la part d'un homme de son âge je m'attendais à une certaine expérience, un peu de douceur…Mais surtout à grimper enfin au rideau. (Les seuls orgasmes que j'avais eu avant c'était en me les procurant seule, bien que j'éprouvais un certain plaisir avec mon premier amoureux il ne m'avait jamais fais jouir…). 

Début difficile, coup classique non j'veux pas mettre de capote, tu sais le plaisir n'est pas le même… (forcément lui il risquait pas grand chose vu ma seule expérience passée) Enfin bref j'ai fini par cédé, (idiote que je suis en plus j'aurais pu tomber enceinte je prenais pas la pilule).

Ce n'est en tous cas pas avec José que j'appris ce qu'étais des préliminaires… J'appris des positions bizarres du Kamasutra qui doivent faire extrêmement de bien aux hommes et qui donne des courbatures aux femmes. De lui bizarrement je ne me souviens pas grand chose (alors que certains autres amants je pourrais vous décrire précisément ce qu'ils m'ont fais, la taille et la forme de leur bite mais là franchement sa devait pas être très exceptionnel), peux-être parce que ma mémoire à voulu longtemps effacé cette soirée désastreuse, ou pour la première fois de ma vie je ne faisais pas l'amour avec un homme que j'aimais et que je n'avais pas su dire non. 

Je me suis sentie un peu comme une poupée gonflable qu'on retourne dans tous les sens pour son bon plaisir. Donc amant N°2 totalement zéro et profiteur en plus… (ce que j'ai su bien après parce qu'il devait bientôt se marier cet abruti…). Enfin des expériences désastreuses j'en ai fais d'autres mais là c'est un peu comme si j'avais été moitié frigide et zombie. 

Zut en me relisant je réalise que c'est pas vraiment "croustillant"… Mais plutôt disséqué et froid qu'autre chose… Donc je pense réellement et sincèrement que cela deviendra plus croustillant et trivial au fur et à mesure de mes récits et des mes expériences. 

 

***Listing d'amants: N° 3 pas mieux...***

 

Le listing continue comme promis, mais malheureusement cette fois encore je vais pas être très gentille avec celui-ci d'amant… (mais objective ça certainement)... Et puis cela commence gentillement à devenir croustillant... 

Donc je dédis cette note à Patrick (surnommé Paddy, venant de Zurich, donc comme il est suisse-allemand il ne lira sans doute jamais cette note… bref) 

Après mon aventure catastrophique avec un homme de 10 ans plus âgés que moi (ceux qu'on suivi dans les notes précédentes comprendront ) je me suis dit qu'il était tant de me trouver un mec un peu plus âges que moi, mais pas trop non plus et pas trop jeune pour ne pas avoir assez d'expérience pour satisfaire ma curiosit酠

A cette époque j'allais donc gentiment sur mes 17 ans (ou alors je les avais déjà ? bref), suite à quelques mésaventures dans mon premier apprentissage d'assistante dentaire, je me suis retrouvée fille au par à Flaawil dans le canton de St-Gall… (soit à l'autre bout de la Suisse… d'enfer…) 

Un vendredi soir que je rentrais chez moi (en douce Romandie), j'étais dans le train direction Zurich. Je me souviens, il s'agissait des nouveaux trains tout automatisé à deux étages… (tellement bien automatisé que les portes entre les wagons avaient parfois quelques bugs à s'ouvrir…) enfin bref, me voilà avec mon gros sacs plein de bordel (je suis incapable de prendre le minimum je suis bien une femme), coincé devant une des ses putains de portes que je comprends pas pourquoi ça ne veut pas s'ouvrir, désespérée de trouver un wagon fumeur. Quand soudain un charmant jeune homme d'environ 1m85 châtain aux yeux bruns, avec semble-t-il un corps d'athlète bien musclé, arrive à la rescousse, et demande gentiment s'il peut m'aider à porter mon fardeau… (bien sur en suisse allemand…) Donc comme cela ne fait pas longtemps que je me suis mise à la langue de Goethe j'ai me mets un peu à bafouiller et je comprends pas trop… Il essaie également de communiquer avec moi dans un français sommaire… On finit par plus ou moins se comprendre et s'installer à ensemble dans un des wagons. 

De Will à Zurich nous voyageons donc ensemble à papoter dans un français et un allemand un peu scabreux. Arrivé à Zurich il nous semble que le temps à filer à la vitesse de la lumière et nous échangeons nos numéros de téléphone. Patrick habite Zurich et étudie vers Will. Donc il m'accompagne sur le quai pour prendre la correspondance qui me mènera jusqu'à Neuchâtel, il insiste pour que je reste un peu, mais je ne peux pas on m'attend chez moi… Juste avant que les portes se ferment, il réussit à me voler un baiser fougueux et puissant… J'en suis toute émoustiller… 

De retour chez moi je passe un agréable vendredi avec des amis avec la tête un peu dans les nuages, samedi soir je remets sa et rentre sur les coups des minuits… Ma mère tout éveillée m'attendant dans la cuisine. Et s'écrie en me voyant : "Non mais c'est qui ce Patrick qui se permets de téléphoner à des heures pas possibles et m'engueule presque parce que tu n'es pas à la maison…" Un peu dubitative je lui explique que j'ai rencontré un jeune homme mais qu'on a échangé juste nos numéros de téléphone… Bref je vais m'enfermer dans une pièce pour lui téléphoner… (je lui manquais déjà, mais j'ai aussi eu droit à une crise de jalousie de ou et avec qui j'étais…) Je trouve cela un peu étrange quand même, me voilà "en  couple" depuis moins de 24 heures et j'ai déjà une crise de jalousie sur le dos… enfin en premier je trouve sa mignon et attendrissant… La suite fut moins gai… 

C'étais un peu compliqué pour se voir, j'habitais et travaillais à Flawill la semaine et rentrait le week-end à Neuchâtel, lui étudiait à Will et habitais Wattwill la semaine et rentrais de temps en temps les week-ends à Zurich. En plus on ne parlait pas la même langue. 

Un soir il m'invita à venir chez lui, il vivait dans un petit appart avec un colocataire, présentation en vitesse du coloc et zou dans la chambre. Très gentil, il me montre sa collection de disque et surtout son groupe préféré Rammstein… (j'aurais du me douter qu'il sois pas clair pour écouter une musique pareil… hi hi hi). Il se rend compte que ce n'est pas le genre de chose que j'apprécie vraiment, nous passons sur le canapé à nous embrasser et papouiller, quand ses mains deviennent plus pressentes sur mes seins et commence à s'enfiler sous mon t-shirt,  il embrasse divinement bien, me mordille avec douceur le cou… Il m'enlève mon t-shirt, je fais de même avec le sien, mon cœur bat fort… Intérieurement je bouillonne…  D'être blottit entre ses bras forts (en plus il était hockeyeur je vous dis pas la carrure), son torse si chaud, si près de moi, ses caresses ses baisers, tout me donnait envie… Pourtant j'hésitais, n'est-ce pas un peu trop rapide, qu'allait-il penser de moi ? 

Résultat je ne puis résister, et cédais sous l'élan de ses mains si pressentes et de ses lèvres si gourmandes, qui promettait tant de merveilles… 

Hélas… une fois nos habits jetez un peu partout dans la chambre et moi allongez sur le canapé, les "préliminaires" s'arrêtère là… Et hop vas-y que je te pénètre et hop on force même un peu si sa rentre pas tout seul… A ce moment là je ne savais vraiment plus quoi penser :  Le retour de la poupée gonflable ? Que ce n'étais encore pas avec lui que j'apprendrais ce qu'étais de vrai préliminaire ? Ou alors me fixer sur le profilage de son phallus… Non franchement des comme ça j'en avais jamais vu… (et ressentis non plus…) Je dirais plutôt cours (voir même en dessous de la moyenne, soit moins de 14 cm a peu près… je me balade pas non plus tout le temps avec un ruban centimétrique) mais alors d'une largeur hors du commun, franchement je saurais pas estimer, mais celui-là la, je l'ai senti passé (et imaginez en plus je n'étais plus vraiment très réceptive…) 

Heureusement que se "coït" ne dura pas bien longtemps… 

Pour la fin je ferai rapide et simple… Pas de petits bisous, vite se rhabiller pour aller mater le match de hockey avec son colocataire… 

Après ça j'suis rentré chez moi (malgré encore quelques déboires techniques à notre chère compagne de train helvétique) on s'est revu juste une fois pour s'engueuler et se fut terminée… 

J'aurais pu être frustrée mais vu ses exploits après réflexion y'a pas de quoi… 

 

***Amour et orgasmes... Oooh ouiiiii...***

(Amant N°4, orgasmes enfin mais à quel prix...)

"On tombe amoureuse du mec qui nous fait jouir…" je sais plus ou j'ai entendu ça, mais je ne suis qu'à moitié d'accord avec… 

Un mec qui nous fais monter au rideau, surtout quand c'est le premier qui y parvient, c'est vrai, c'est merveilleux, on se dit c'est bon j'ai enfin trouvé un mec, un homme… Après selon les personnes et les caractères c'est vrai on peu tomber réellement amoureux…

Par Sophie - Publié dans : freesexe
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Samedi 22 janvier 6 22 /01 /Jan 00:00

Pas gai, pas gay. Jeux entre garçons.

dans la pénombre de sa chambre, il dégrafa sa braguette et sorti son sexe. Il prit ma main qu'il dirigea vers son sexe, je ne voyais pas comment je pouvais m'en sortir, je montrais bien quelques réticences mais rien n'y fit. A son tour Jean-Luc c'était le nom de ce garçon dégrafa ma braguette et sorti mon sexe, il ne tardât pas à s'apercevoir de la taille anormale de mon  testicule. Je lui expliquais mon histoire  pour justifier ce qu'il m'étais arrivé. Sans plaisir aucun je le masturbais quant à moi je ne réussi même pas à avoir une érection convenable. Ce genre de situation avec ce garçon du se produire deux fois, ce fut lui qui vint me chercher, je me défendis du mieux que je pus il insista tant et si bien que je le suivi dans sa chambre pour de nouveaux jeux. Un jour alors que je descendais les escaliers pour aller voir la télévision, je passais devant le bureau de l'éducateur dont la porte restait ouverte lorsque l'éducateur était là, Christian m'appela, il me dit qu'il avait une bonne nouvelle pour moi, je t'ai trouvé du travail dans la peinture à Coté de M...., chez Monsieur Jouet. Je pensais immédiatement que pour une bonne nouvelle il y avait mieux dans le genre, je me maudissais intérieurement, je ne voulais plus travailler dans la peinture, j'aurais du moi même chercher du travail. Le comble se produisit lorsque l'éducateur m'annonça que j'allais continuer à préparer mon C A P en allant tout les samedis au collège technique. Je savais d'entrée que cette situation irait tout droit à l'échec, je ne voulais pas  travailler dans la peinture et encore moins retourner au collège même le samedi. Le lundi suivant j'embauchais  dans cette entreprise, je fus mis avec un compagnon un gueulard plutôt sympathique mais quant quelque chose n'était pas fait assez rapidement ou pas assez bien, je me faisait copieusement engueuler, j'avais encore de la chance, il n'était pas rancunier. Ce n'était pas facile du tout et surtout c'était fatiguant, je fis du mieux que je pus. Le samedi j'allais  au collège pour parfaire ma formation de peintre en bâtiment, je tombais sur le même prof de peinture que lorsque j'étais à plein temps au lycée. Je faisais les exercices avec peu de bonheur, je n'étais pas franchement doué pour les travaux de ce genre et surtout pas motivé du tout. Il ne me restais qu'un jour de congé par semaine, le dimanche, c'était un peu juste pour me reposer. Je faisais toujours venir Patrick dans ma chambre où nous discutions de choses et d'autres. Le but  non avoué à Patrick de ces causeries était pour moi une façon pour arriver à le déshabiller, à le mettre sur mon lit et faire l'amour avec lui par dérive de nos conversations. Je ne savais pas comment j'allais parvenir à mes fins, de toute façon ce garçon devait bien se douter ou je voulais en venir. Oui j'avais le goût des garçons je penses que vous aviez deviné. Déjà chez les Morel j'avais développé cette tendance homosexuelle, déjà avec un Patrick qui était pensionnaire avec moi, puis ensuite avec un camarade d'école lorsque nous allions en forêt de Fontaine la Forêt et enfin au lycée technique avec plusieurs de mes camarades. Je ne sais plus comment je parvint à mes fins toujours est-il que Patrick se retrouva nu sur mon lit, je me déshabillais à mon tour cette fois mon sexe s'érigea sans que j'aille besoin de réprimer mon érection,  le but étant avoué, je n'avais plus besoin de me retenir. Je le caressais un peu partout quant à Patrick  je voyais bien que cela ne lui plaisait pas autrement, Je tentais de le faire jouir encore eut-il fallu pour ce faire que son sexe fut en érection. Je parvint à force de persuasion et de caresses à ériger son pénis et enfin réussi à le faire jouir. Je parvins à faire venir Patrick dans ma chambre trois ou quatre fois, nos jeux amoureux n'allaient pas bien loin caresses manuelles et masturbations réciproques, je parle de jeux, je devrais plutôt parler de guet-apens en tout cas pour Patrick, l'amener dans ma chambre devenait de plus en plus difficile . Les choses finirent par se savoir sans doute par ma faute, le premier qui m'en parla fut Jean-Luc je savais pourquoi ce fut lui qui m'en parla le premier, il était particulièrement intéressé,  vu les attouchements dont il avait été l'instigateur à mon encontre, je ne fus pas surpris, je lui dit de venir ce soir dans ma chambre, il y aura Patrick, j'ajoutais tu viens assez tard sinon il sera habillé et ne voudra pas se déshabiller. Comme convenu, Jean-Luc frappa à ma porte tard, Patrick nu sur mon lit changea de couleur et fit montre de s'habiller en hâte, silencieusement je le dissuadais, j'ouvrais enfin la porte pour laisser le passage à Jean-Luc qui nous découvrit Patrick et moi entièrement nus le sexe à l'avantage. Sans l'ombre d'une gêne Jean-Luc à son tour se déshabilla, il invita Patrick  qui ne savait plus ou se mettre a s'allonger sur le lit, ils se mirent à faire l'amour devant moi. N'aillant pas encore joui ce soir là, je me sentais frustré. Aillant fait venir Jean-Luc, j'avais fait trop fort, les amours homosexuels n'étant  pas la tasse de thé de Patrick. Je craignais que Patrick ne veuille plus revenir dans ma chambre. Jean-Luc ce soir là  me fit jouir tandis que Patrick   ne demandant pas son reste  était déjà retourné dans sa chambre.

Par Sophie - Publié dans : freesexe
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Samedi 22 janvier 6 22 /01 /Jan 00:00
Les caresses prodiguées au moyen de la bouche sur le sexe de la femme
Après les baisers et les caresses dont vous l'avez, bien entendu, entourée depuis le visage jusqu'aux épaules et aux seins, en passant par le ventre et les bras.
Après lui avoir prodigué des caresses comme un long tourbillon qui a commencé très loin de son sexe, vous allez tout doucement, tout doucement vous approchez de celui-ci sans qu'elle s'en rende vraiment compte.
Arrangez-vous pour doucement vous retrouver à genoux entre ses cuisses, votre visage tourné vers le sien. Abandonnez peu à peu les caresses et les baisers sur le visage. Vous allez maintenant vous concentrer dans l'espace qui se situe entre le nombril et l'intérieur des cuisses jusqu'aux genoux mais en restant éloigné du sexe encore un moment.
Des petits coups de langue...
Prenez ses fesses ou ses hanches dans vos mains et posez votre visage sur son ventre, frottez votre visage sur son ventre, sur le haut de ses cuisses et sur ses hanches, puis frottez votre nez, vos joues, votre menton sur son ventre et sur le haut des cuisses et le long des cuisses. Votre visage circule depuis les genoux jusqu'au nombril... Donnez des petits coups de langue en passant votre visage sur sa peau. Votre langue se promène un peu sur le haut des cuisses, là où il y a ce petit sillon qui s'appelle l'aine, il est très sensible, passez-y et repassez-y votre langue encore.
Votre langue descend...
Puis, votre langue descend dans le creux de sa cuisse juste entre le sexe et l'intérieur de sa cuisse, celle de droite et celle de gauche. Faites le tour de son pubis avec votre langue, contournez toute la partie habillée de poils. Pas le milieu pour l'instant, pas encore, essayez d'attendre qu'elle vous le demande, essayez d'attendre que ce soit elle qui vous demande de poser votre bouche et votre langue sur son sexe.
Faites durer le plaisir encore et encore, en tournant autour du sexe, dans un sens et dans l'autre, et à droite et à gauche. Faites glissez votre langue dans le creux des fesses, derrière, dans le pli, sous la fesse aussi loin que vous le pouvez sans lui remonter ses jambes. Laissez ses jambes sur le côté, abandonnées, détendues.
Elle est très offerte, elle s'ouvre, les lèvres de son sexe s'écartent d'elles-mêmes. Regardez comme elle est belle ! Comme son ventre se tend ! Comme son sexe se tend vers vous... Soyez doux et patient, faites-la languir encore. Plus son bassin bouge, plus elle ondule, plus elle se tend vers vous, plus vous êtes sûr qu'elle vous veut et qu'elle va vous réclamer. Alors, faites-la languir encore un peu.
Pétrissez ses fesses de vos mains. Faites glisser votre langue à droite et à gauche de son sexe puis sous son sexe jusqu'à l'anus, en mettant votre visage de côté léchez l'entrée de son anus du bout de la langue. Maintenant léchez le petit espace qui a entre son sexe et son anus. Vous sentez la crème chaude et très parfumée qui s'échappe de son sexe ? Elle aime que vous aimiez, ne vous privez pas de la déguster.
Ensuite, remontez votre langue à l'intérieur de son sexe, soulevez ses lèvres de la pointe de la langue, à droite et à gauche puis en haut de son sexe et autour de la petite bosse. Faites tourner votre langue autour de cette petite bosse, c'est son clitoris.
Toute la largeur de votre bouche
Faites-la vibrer encore un petit peu. Relâchez puis repassez votre langue en bas à droite, au-dessus, autour puis revenez sur son bouton. De la pointe vous poussez le petit capuchon qui recouvre son bouton. Ca résiste et ça vous échappe à chaque fois...
Doucement, doucement... Dégagez le petit capuchon du bout de la langue sans trop appuyer, sinon vous allez lui faire mal.
N'hésitez pas à mettre plein de salive. Allez voir à l'intérieur de son vagin, à l'intérieur de son sexe ; encore à droite et encore à gauche. Elle devient complètement dingue. Elle s'accroche à vos cheveux ! Elle veut que vous plaquiez votre bouche ! Laissez-la vous plaquer toute la largeur de votre bouche sur son sexe. Englobez toute sa vulve, toute la surface de son sexe... Englobez-la dans votre bouche et massez son sexe de vos lèvres de haut en bas et sur le côté. Embrassez-le, embrassez-le encore.
Maintenant, vous allez pouvoir vraiment faire bander son petit bouton, la faire bander au point de la rendre dingue ! Avec deux doigts d'une main vous maintenez le haut de son sexe ouvert et légèrement relevé pour bien dégager le petit bouton.
De l'autre main vous allez mettre votre pouce à l'entrée de son sexe et les autres doigts (tous mouillés pleins de salive) sur son anus et sur le petit espace qui sépare l'anus du sexe. Vous la caressez toujours, sans oublier des petits baisers et à droite et à gauche. Vous vous êtes mis en position : deux doigts d'une main (le pouce et l'index) pour maintenir le sexe écarté et un petit peu relevé. Le pouce de votre autre main à l'entrée de son sexe sans la pénétrer encore.
Caressez l'entrée de son sexe en tournant, en montant et en descendant un petit peu. Si ce n'est pas assez mouillé, ajoutez de la salive, et si votre salive ne suffit pas il faut penser à prendre de la crème. Vos autres doigts lui caressent : - l'intérieur des fesses - l'entrée de son anus - le petit espace qui a entre son anus et son sexe. Approchez doucement vos lèvres de son petit bouton, doucement, embrassez-le et donnez-lui des petits coups de langue légers...
La jouissance
Maintenant, soyez très attentif ! Vous allez amener à la jouissance la personne que vous êtes en train de caresser avec votre bouche depuis une bonne dizaine de minutes déjà, voire beaucoup plus. Tout en continuant à caresser tout son corps d'une part, tout son sexe d'autre part, vous allez vous appliquer à faire attention à toutes ses réactions. Pour ce faire, vous allez poser votre langue, bien étalée, bien ouverte, bien à plat, sur son clitoris. Vous allez le lécher tout doucement, de bas en haut, comme une glace. Normalement, son corps devrait onduler, elle doit pousser de longs soupirs d'extase (c'est une caresse directe, douce et diabolique). Arrêtez tout. Soyez attentif. Écoutez son corps. Reprenez votre caresse très, très doucement. Léchez de bas en haut. Du plus bas au plus haut. Votre langue est toujours bien à plat. Essayez de ne pas trop vous exciter (c'est elle qui doit jouir). Ne changez surtout pas de rythme. Son orgasme arrive...
Vous le "sentez" arriver : Soupirs de plus en plus profonds ; ondulation du corps ; son bassin s'offre ; son sexe est trempé. Dès que vous vous écartez de son clitoris, elle vous le replace en face de votre langue... Elle n'en peut plus... Continuez à la lécher à la même cadence. Maintenant, vous ne quittez plus le clitoris. Vous le léchez. Vous le léchez encore, mais doucement. Vous ne changez toujours pas de rythme. Laissez-le venir. Laissez le plaisir monter. Vous n'avez plus qu'à attendre
Elle gémit, pousse de petits cris. Le plaisir la submerge. Elle crie maintenant. Elle a beau se retenir, l'orgasme lui fait perdre toute retenue. Elle crie ! On dirait presque qu'elle a mal. Elle jouit ! Restez maintenant la bouche sur son sexe en bougeant votre langue imperceptiblement, ou pas du tout ; Comme vous le sentez (et comme elle vous le demandera). Jusqu'au calme complet... Bravo ! Vous avez offert beaucoup de plaisir !
Le mot du psy 1) d'accord 2) pas d'accord
1) Si cette caresse ne vous est pas habituelle, commencez par la caresser sur toute la surface de votre corps, puis, après avoir mouillé vos doigts avec votre salive, caressez-lui l'entrejambes doucement, près de son sexe mais sans y toucher. Remettez-vos doigts en bouche… Vous le verrez, son odeur et son goût sont enivrantes…
1) Votre partenaire aime quand vous la caressez de votre bouche. Apprenez à prendre encore plus votre temps, sans rien lui demander en échange, comme si cela allait de soi. Dans l'immense majorité des cas, elle vous en sera reconnaissante et s'ingéniera à vous rendre au centuple le plaisir que vous avez prodigué. Patience.
2) N'essayez pas de vous débarrasser de cette caresse si vous n'aimez pas cela, votre partenaire s'en apercevra vite. Si vous n'en avez pas l'habitude, ou si cela vous rebute, prenez votre temps, tournez autour. Vous sentirez vite, par son odeur, par son excitation, une envie irrépressible d'aller plus loin vous envahir. Essayez !
2) Si vous n'aimez pas prodiguer cette caresse à une femme, pensez qu'elle-même peut ne pas être " chaude " avant de vous lécher, sucer, caresser votre sexe. Pensez de même qu'elle n'est pas obligée de vous prendre dans sa bouche si vous lui refusez la vôtre. Un pas en avant chacun, et tout ira pour le mieux dans votre couple…
Par glace glace007 - Publié dans : freesexe
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Samedi 22 janvier 6 22 /01 /Jan 00:00

Je me sens seule. Seule et incomprise. Même mon meilleur ami ne me comprend plus. C’est pour vous dire comme je suis tombée bas.

Tout a commencé il y a quelques semaines. Le premier jour de l’année pour être exacte. Je revenais de la soirée que j’avais passée en compagnie de mon petit ami et de quelques copains et j’étais sur un petit nuage. Ce n’était pas seulement l’effet de l’alcool car je ne me rappelle pas en avoir beaucoup consommé. Mon euphorie était principalement du au fait que j’avais sauté le pas avec A : il était maintenant mon amant attitré. L’état dans lequel j’étais n’a rien changé avec ce qui s’est passé. J’ai d’abord trouvé la maison vide. Chose étrange car d’habitude ce sont mes parents qui rentrent les premiers, avant le lever du soleil. Mais sans m’inquiéter de ce changement je suis allée me coucher en pensant à la nuit que je venais de passer. C’est quelques heures plus tard que ma vie a basculé. La sonnerie du téléphone m’a arrachée à mes rêves ...

Par Sophie - Publié dans : freesexe
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