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dans la pénombre de sa chambre, il dégrafa sa braguette et sorti son sexe. Il prit ma main qu'il dirigea vers son sexe, je ne voyais pas comment je pouvais m'en sortir, je montrais bien quelques réticences mais rien n'y fit. A son tour Jean-Luc c'était le nom de ce garçon dégrafa ma braguette et sorti mon sexe, il ne tardât pas à s'apercevoir de la taille anormale de mon testicule. Je lui expliquais mon histoire pour justifier ce qu'il m'étais arrivé. Sans plaisir aucun je le masturbais quant à moi je ne réussi même pas à avoir une érection convenable. Ce genre de situation avec ce garçon du se produire deux fois, ce fut lui qui vint me chercher, je me défendis du mieux que je pus il insista tant et si bien que je le suivi dans sa chambre pour de nouveaux jeux. Un jour alors que je descendais les escaliers pour aller voir la télévision, je passais devant le bureau de l'éducateur dont la porte restait ouverte lorsque l'éducateur était là, Christian m'appela, il me dit qu'il avait une bonne nouvelle pour moi, je t'ai trouvé du travail dans la peinture à Coté de M...., chez Monsieur Jouet. Je pensais immédiatement que pour une bonne nouvelle il y avait mieux dans le genre, je me maudissais intérieurement, je ne voulais plus travailler dans la peinture, j'aurais du moi même chercher du travail. Le comble se produisit lorsque l'éducateur m'annonça que j'allais continuer à préparer mon C A P en allant tout les samedis au collège technique. Je savais d'entrée que cette situation irait tout droit à l'échec, je ne voulais pas travailler dans la peinture et encore moins retourner au collège même le samedi. Le lundi suivant j'embauchais dans cette entreprise, je fus mis avec un compagnon un gueulard plutôt sympathique mais quant quelque chose n'était pas fait assez rapidement ou pas assez bien, je me faisait copieusement engueuler, j'avais encore de la chance, il n'était pas rancunier. Ce n'était pas facile du tout et surtout c'était fatiguant, je fis du mieux que je pus. Le samedi j'allais au collège pour parfaire ma formation de peintre en bâtiment, je tombais sur le même prof de peinture que lorsque j'étais à plein temps au lycée. Je faisais les exercices avec peu de bonheur, je n'étais pas franchement doué pour les travaux de ce genre et surtout pas motivé du tout. Il ne me restais qu'un jour de congé par semaine, le dimanche, c'était un peu juste pour me reposer. Je faisais toujours venir Patrick dans ma chambre où nous discutions de choses et d'autres. Le but non avoué à Patrick de ces causeries était pour moi une façon pour arriver à le déshabiller, à le mettre sur mon lit et faire l'amour avec lui par dérive de nos conversations. Je ne savais pas comment j'allais parvenir à mes fins, de toute façon ce garçon devait bien se douter ou je voulais en venir. Oui j'avais le goût des garçons je penses que vous aviez deviné. Déjà chez les Morel j'avais développé cette tendance homosexuelle, déjà avec un Patrick qui était pensionnaire avec moi, puis ensuite avec un camarade d'école lorsque nous allions en forêt de Fontaine la Forêt et enfin au lycée technique avec plusieurs de mes camarades. Je ne sais plus comment je parvint à mes fins toujours est-il que Patrick se retrouva nu sur mon lit, je me déshabillais à mon tour cette fois mon sexe s'érigea sans que j'aille besoin de réprimer mon érection, le but étant avoué, je n'avais plus besoin de me retenir. Je le caressais un peu partout quant à Patrick je voyais bien que cela ne lui plaisait pas autrement, Je tentais de le faire jouir encore eut-il fallu pour ce faire que son sexe fut en érection. Je parvint à force de persuasion et de caresses à ériger son pénis et enfin réussi à le faire jouir. Je parvins à faire venir Patrick dans ma chambre trois ou quatre fois, nos jeux amoureux n'allaient pas bien loin caresses manuelles et masturbations réciproques, je parle de jeux, je devrais plutôt parler de guet-apens en tout cas pour Patrick, l'amener dans ma chambre devenait de plus en plus difficile . Les choses finirent par se savoir sans doute par ma faute, le premier qui m'en parla fut Jean-Luc je savais pourquoi ce fut lui qui m'en parla le premier, il était particulièrement intéressé, vu les attouchements dont il avait été l'instigateur à mon encontre, je ne fus pas surpris, je lui dit de venir ce soir dans ma chambre, il y aura Patrick, j'ajoutais tu viens assez tard sinon il sera habillé et ne voudra pas se déshabiller. Comme convenu, Jean-Luc frappa à ma porte tard, Patrick nu sur mon lit changea de couleur et fit montre de s'habiller en hâte, silencieusement je le dissuadais, j'ouvrais enfin la porte pour laisser le passage à Jean-Luc qui nous découvrit Patrick et moi entièrement nus le sexe à l'avantage. Sans l'ombre d'une gêne Jean-Luc à son tour se déshabilla, il invita Patrick qui ne savait plus ou se mettre a s'allonger sur le lit, ils se mirent à faire l'amour devant moi. N'aillant pas encore joui ce soir là, je me sentais frustré. Aillant fait venir Jean-Luc, j'avais fait trop fort, les amours homosexuels n'étant pas la tasse de thé de Patrick. Je craignais que Patrick ne veuille plus revenir dans ma chambre. Jean-Luc ce soir là me fit jouir tandis que Patrick ne demandant pas son reste était déjà retourné dans sa chambre.